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D'après le Figaro, Breivik, le tueur norvégien, aurait financé son coup d'éclat en utilisant essentiellement des cartes de crédits. Il a donc profité au maximum du système qu'il disait détesté...
Non seulement a-t-il pu aller et venir librement tout ce temps et mettre en place son plan diabolique - sans compter les longues heures nécessaires à la rédaction de son manifeste de 1518 pages - mais, en plus, il a bénéficié de facilités de crédit que seule une économie libérale prospère comme celle de la Norvège pouvait offrir. Ce fait ajoute à l'ironie lugubre de son aventure.
Non seulement a-t-il pu aller et venir librement tout ce temps et mettre en place son plan diabolique - sans compter les longues heures nécessaires à la rédaction de son manifeste de 1518 pages - mais, en plus, il a bénéficié de facilités de crédit que seule une économie libérale prospère comme celle de la Norvège pouvait offrir. Ce fait ajoute à l'ironie lugubre de son aventure.
Il est toujours ahurissant de voir comment quelqu'un peut s'acharner à essayer de scier la branche sur laquelle il est perché.
Brevik a profité au maximum des libertés et de la richesse que son pays lui assurait. Son action risque de retreindre les libertés dans son pays, ce qui pourrait diminuer sa créativité et donc, du même coup, la création de richesses.
Souhaitons que les Norvégiens puissent préserver leurs libertés malgré le malheur qui vient de les frappé.
Souhaitons que les Norvégiens puissent préserver leurs libertés malgré le malheur qui vient de les frappé.