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La situation au Mali ne cesse d'inquiéter depuis le coup d'État survenu en 2011. Le nord du Mali est en passe de devenir un sanctuaire pour le terrorisme islamique. C'est ce qui ressort de l'article publié par leral.net où est décrite la convergence de plusieurs groupes autour d'Ansar Dine, leader de la contestation - et de la victoire contre - le pouvoir de Bamako. Voici la description de leral.net :
"C’est ainsi que des centaines de jihadistes, venant des camps du polisario de Tindouf, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, ont déboulé récemment au Nord du Mali, occupé par des islamistes armés, pour renforcer les rangs des terroristes islamistes d’AQMI et du MUJAO et se battre à leur côté dans la perspective de l'envoi dans la région d'une force armée étrangère.
De plus, afin de renforcer ses rangs, le groupe islamiste Ansar Dine, contrôlant de larges zones du nord Mali, a tenu des discussions pour réactiver son accord avec ses ex-alliés touaregs séparatistes du MNLA."
Mais, ce renforcement d'Ansar Dine, est attribué en grande partie au laxisme algérien :
"Face à cette nouvelle donne, de nombreux pays s’interrogent sur le rôle de l’Algérie dans le pourrissement de la situation au Mali et dans le climat d’insécurité dangereux qui menace la sécurité et la stabilité de la région générés par les actes terroristes.
Ces pays n’ont pas hésité à mettre en relief la responsabilité du polisario et de l’Algérie dans cette escalade de la violence, tant à travers son mépris du droit international que dans son laxisme dans le contrôle de son territoire et des camps du polisario de Tindouf que dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale."
La situation au Mali ne cesse d'inquiéter depuis le coup d'État survenu en 2011. Le nord du Mali est en passe de devenir un sanctuaire pour le terrorisme islamique. C'est ce qui ressort de l'article publié par leral.net où est décrite la convergence de plusieurs groupes autour d'Ansar Dine, leader de la contestation - et de la victoire contre - le pouvoir de Bamako. Voici la description de leral.net :
"C’est ainsi que des centaines de jihadistes, venant des camps du polisario de Tindouf, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, ont déboulé récemment au Nord du Mali, occupé par des islamistes armés, pour renforcer les rangs des terroristes islamistes d’AQMI et du MUJAO et se battre à leur côté dans la perspective de l'envoi dans la région d'une force armée étrangère.
De plus, afin de renforcer ses rangs, le groupe islamiste Ansar Dine, contrôlant de larges zones du nord Mali, a tenu des discussions pour réactiver son accord avec ses ex-alliés touaregs séparatistes du MNLA."
Mais, ce renforcement d'Ansar Dine, est attribué en grande partie au laxisme algérien :
"Face à cette nouvelle donne, de nombreux pays s’interrogent sur le rôle de l’Algérie dans le pourrissement de la situation au Mali et dans le climat d’insécurité dangereux qui menace la sécurité et la stabilité de la région générés par les actes terroristes.
Ces pays n’ont pas hésité à mettre en relief la responsabilité du polisario et de l’Algérie dans cette escalade de la violence, tant à travers son mépris du droit international que dans son laxisme dans le contrôle de son territoire et des camps du polisario de Tindouf que dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale."
Quoiqu'il en soit de la responsabilité algérienne, si les faits rapportés sont exacts, la situation ne risque pas de s'améliorer au Mali prochainement. Les islamistes avaient vaincus avec l'aide des Touaregs mais cette alliance semblait rompue. Voilà qu'elle pourrait être renouvellée. Si, en plus, d'autres groupes islamistes se joignent à la rébellion, on en voit pas comment le pouvoir malien affaibli pourra composé encore bien longtemps avec cette nouvelle avarie.