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Le texte s'attarde plus particulièrement sur le cas de la ville de Zintan où une milice particulièrement bien organisée n'est toujours pas intégrée à la nouvelle armée nationale.
L'un des obstacles à l'intégration des milices étaient semble-t-il la personnalité du général en chef Haftar destitué récemment. Mais, plus fondamentalement, il n'existe pas beaucoup d'intérêts, ni de liens communs entre les différentes factions qui ont contribué à la défaite de Kadhafi (à l'exception de l'animosité contre le tyran). Chaque groupe à sa propre histoire, son propre récit de légitimation, son mythe :
"Apart from a powerful shared aim to get rid of Qaddafi, the various loose-knit groups of the rebel camp had little in common, leaving a general feeling of mistrust and suspicion as the main denominators of their relationship. Every militia has its own self-narrative and myth concerning its role and weight in destroying Qaddafi’s Jamahiriya. As shown by the recent clashes in and around Tripoli, the ability to obtain a consensus among the militias seems slight and the possibility that these groups will voluntarily give up their arms and get out of Libyan streets appears to be remote."
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