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Le site du journal Libération publie le récit de l'engagement d'un djihadiste prêt à s'en prendre à n'importe quel pays membre de l'OTAN. D'abord motivé par le désir ce combattre Israël en appuyant le gouvernement Syrien, puis - converti au jihad - par celui de devenir kamikaze , le Khalil est maintenant en Turquie et conteste l'autorité d'Al Quaida et se tourne vers l'État islamique, du moins refuse la "combat des musulmans contre les musulmans". Voici le début du récit :
"Abou Khalil, un Syrien de 24 ans, est membre d’Al-Qaeda. Il en est «fier» ; il ne regrette ni ne renie rien. Il appartient au groupe «Khorassan», considéré par les services de renseignements américains comme le plus dangereux, le plus susceptible d’attaquer l’Occident sur son sol. «Oui, bien sûr que je pourrais participer à un attentat aux Etats-Unis, en France ou dans n’importe quel pays membre de l’Otan. Ce serait une juste revanche face à vos bombardements en Afghanistan et maintenant en Syrie. Il faut simplement que ce soit une opération d’envergure, qu’elle intervienne au bon moment et que la riposte contre le monde musulman soit anticipée», affirme-t-il. Il estime aussi que c’est «normal d’égorger les chiites, un par un, jusqu’au dernier», comme s’il s’agissait d’une évidence. Son jihad n’a pas de frontières et s’étend à tous les pays musulmans, qu’il veut transformer en autant d’«émirats» où un islamisme absolu régnerait."
Il n'est pas question pour Abou Khalil de retourner à la "vie merdique" qu'il avait avant le djihad. Il est trop heureux de sa vie de "guerrier". Il n'est pas question dans le texte de Libération des revenus du djihadiste, de ce qui permet à ce "soldat" de vivre et même de prendre des vacances régulièrement ! Le récit révèle les luttes intestines qui mine le djihadisme et l'attrait du djihad pour un jeune comme Khalil.
Le site du journal Libération publie le récit de l'engagement d'un djihadiste prêt à s'en prendre à n'importe quel pays membre de l'OTAN. D'abord motivé par le désir ce combattre Israël en appuyant le gouvernement Syrien, puis - converti au jihad - par celui de devenir kamikaze , le Khalil est maintenant en Turquie et conteste l'autorité d'Al Quaida et se tourne vers l'État islamique, du moins refuse la "combat des musulmans contre les musulmans". Voici le début du récit :
"Abou Khalil, un Syrien de 24 ans, est membre d’Al-Qaeda. Il en est «fier» ; il ne regrette ni ne renie rien. Il appartient au groupe «Khorassan», considéré par les services de renseignements américains comme le plus dangereux, le plus susceptible d’attaquer l’Occident sur son sol. «Oui, bien sûr que je pourrais participer à un attentat aux Etats-Unis, en France ou dans n’importe quel pays membre de l’Otan. Ce serait une juste revanche face à vos bombardements en Afghanistan et maintenant en Syrie. Il faut simplement que ce soit une opération d’envergure, qu’elle intervienne au bon moment et que la riposte contre le monde musulman soit anticipée», affirme-t-il. Il estime aussi que c’est «normal d’égorger les chiites, un par un, jusqu’au dernier», comme s’il s’agissait d’une évidence. Son jihad n’a pas de frontières et s’étend à tous les pays musulmans, qu’il veut transformer en autant d’«émirats» où un islamisme absolu régnerait."
Il n'est pas question pour Abou Khalil de retourner à la "vie merdique" qu'il avait avant le djihad. Il est trop heureux de sa vie de "guerrier". Il n'est pas question dans le texte de Libération des revenus du djihadiste, de ce qui permet à ce "soldat" de vivre et même de prendre des vacances régulièrement ! Le récit révèle les luttes intestines qui mine le djihadisme et l'attrait du djihad pour un jeune comme Khalil.
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