Le mont Hélicon
Il avait les pieds ronds
en voguant vers l’Hélicon.
Ivresse, dangereux tourbillon
qui mène sous les pontons !
Redressant de la droite
une lame dure et droite,
affranchis des morales
comme l’Hermès ancestrale.
Comme une flamme éveillé,
un flambeau de clarté...
Le printemps monte se coucher,
le soleil veut te réchauffer.
Embraye vers l’avant
et prend tout ton temps !
Il avait les pieds ronds,
en voguant vers l’Hélicon.
Ivresse, merveilleux tourbillon
qui franchit tous les ponts !
Marc Imbeault
Rouyn-Noranda, printemps 1976
Il avait les pieds ronds
en voguant vers l’Hélicon.
Ivresse, dangereux tourbillon
qui mène sous les pontons !
Redressant de la droite
une lame dure et droite,
affranchis des morales
comme l’Hermès ancestrale.
Comme une flamme éveillé,
un flambeau de clarté...
Le printemps monte se coucher,
le soleil veut te réchauffer.
Embraye vers l’avant
et prend tout ton temps !
Il avait les pieds ronds,
en voguant vers l’Hélicon.
Ivresse, merveilleux tourbillon
qui franchit tous les ponts !
Marc Imbeault
Rouyn-Noranda, printemps 1976
1 commentaire:
Ce poème a été écrit pendant l'hiver 1976 à Rouyn. C'est un hymne à la joie que procure la poésie et l'ivresse. Il contient la réminiscence des histoires que les anciens Abitibiens racontaient de leurs joyeuses soirées d'hiver bien arrosées !
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